Remake courue de la photowalk ensoleillée de samedi. Seulement, à 7h, il fait déjà jour. A moi, la circulation dense et la cohue de travailleurs grouillant sur les trottoirs.
Ride like the wind
Au premier contact, je sens que le ressenti va être plus hardcore que hard cuir. Sensible, pas aussi agréable que lorsque j’en ai sous le pied (de la semelle) mais pas déplaisant non plus. Ça permet au passage de modeler et atténuer le signal transmis par le cerveau. Un travail sur le long terme.
Feuilles mortes
Tous les jours, le battement trop rapide de mon palpitant me le rappelle : si je ne me dépense pas régulièrement, mon cœur va littéralement imploser sous la somme de problèmes qui s’accumulent quotidiennement au boulot. Beaucoup d’adverbes dans la phrase précédente, place désormais aux verbes d’action ! Je profite d’une semaine où mes horaires sont fixes et permettent d’envisager une incursion dans un parc public (point trop tôt n’en faut), pour me jeter à corps perdu dans une démarche de reprise-des-bonnes-habitudes. Ça commence mal, j’ai déjà loupé le coche hier (lundi).
Hot tension
Je plaide coupable : j’ai séché la CAP durant 2 bonnes semaines. Because couchée tard et petit orteil explosé par le port serrant des collants (donc tellement gonflé que le nano-ongle a fini par se briser). Sans compter les déclenchements intempestifs à l’aube pour le taf et…une petite ampoule faite à Disneyland Paris (on ne se moque pas : 20 000 pas, ça peut faire ça).
Fire
Abstinence depuis 3 jours. Mardi, les deux petites ampoules localisées sous les orteils (à l’apparence inoffensive des bulles…du papier bulle) semblaient encore trop sensibles pour envisager de se lancer à bride déployée sur le bitume détrempé. Mercredi, j’ai été appelée par ma responsable à faire un remplacement…seulement deux minutes avant mon réveil runnal : la rage.
La totale
Premier tiers
Le temps est tangent. Hésitation entre sortir à poil ou en baskets, ce matin. J’ouvre un volet : le sol est sec, ça devrait le faire. Le temps d’enfiler ma tenue et de mettre le pied dehors une averse torrentielle a déjà transformé la place pas plane en une sorte de lac. En France, chaque saison a désormais sa mousson.